On rêve tous d’une vie paisible en tant que propriétaire immobilier. Mais la réalité de la gestion locative peut parfois être éprouvante.
On nous vend souvent l’idée que posséder un bien locatif résidentiel, c’est la dolce vita.
Gérer son parc immobilier résidentiel serait un jeu d’enfant.
Juste encaisser les loyers et siroter des cocktails au bord de la piscine.
La réalité est très différente.
Derrière cette façade se cache en fait un travail harassant et épuisant.
Voici les 3 principales corvées du propriétaire de biens résidentiels :
1. Gestion des locataires
👉 Problèmes avec les locataires :
Gérer des locataires implique de faire face à diverses situations difficiles…
Les retards de paiement, les conflits entre voisins, les demandes d’intervention en cas de réparations, ou même l’expulsion dans les cas les plus extrêmes.
Ces interactions peuvent être chronophages et stressantes.
👉Turnover :
Le roulement des locataires est fréquent dans les biens résidentiels, nécessitant de trouver de nouveaux locataires, de s’assurer de leur solvabilité, de signer de nouveaux baux, et parfois de rénover ou nettoyer le logement entre les locations.
2. Gestion technique
👉Réparations et entretien :
Les biens résidentiels nécessitent un entretien régulier (peinture, plomberie, électricité, etc.)
Et des réparations d’urgence.
Il faut gérer les artisans, obtenir des devis et valider les travaux.
👉Normes et réglementations :
Suivre et respecter les nombreuses normes (sécurité, accessibilité, performance énergétique…) implique des travaux coûteux et chronophages.
3. Gestion administrative
👉Paperasse :
La gestion administrative (déclarations fiscales, comptabilité, baux, assurance, etc.) est fastidieuse.
Le moindre oubli t’expose à des redressements.
Bref, derrière la vitrine, gérer des biens résidentiels est un travail harassant qui peut vite devenir énergivore.